Le mépris des hormones de la féminité est non seulement responsable d'inutiles souffrances mais aussi d'une atteinte à ce que nous avons de plus précieux dans la vie: notre dignité.
Nous ne saurions trop insister sur l’importance de bonnes recherches cliniques sur les hormones sexuelles et l’hormonothérapie féminine bioidentique pour le bien-être, la santé et la dignité des femmes.
Nous avons longtemps réfléchi à savoir comment faire financer ces projets de recherche. Nous en sommes venu à la conclusion que la création d’une fondation est une option. Pour l'instant, tout reste à faire. (D'autres formes de financement sont aussi à l'étude en ce moment.)
En effet, nous sommes confrontés à certaines réalités dont les deux suivantes:
Soyons francs et réalistes : La peur institutionnalisée des hormones féminines est payante pour plusieurs. Peu de gens réalisent à quel point "l’industrie" de la préménopause et de la ménopause fait vivre beaucoup de monde!
La fondation aurait pour mandat principal de chercher du financement pour la recherche sur les hormones sexuelles (ou leurs précurseurs); recherches qui ont pour but ultime d’en arriver à une utilisation judicieuse de l’hormonothérapie bioidentique (féminine et masculine) à des fins de prévention et de traitement pour différents problèmes de santé.
La fondation auraient pour but de financer les trois projets de recherche décrits ci-haut ainsi que tout autre projet éventuel qui aura reçu l'approbation de la fondation.
Nous aimerions que des bourses (et éventuellement des prix) soient également attribués à des chercheurs associés qui soumettront des projets de recherche qui s’inscrivent dans la mission de la fondation.
La fondation serait aussi appelée à jouer un rôle important auprès des médias. Un accent particulier serait mis sur la valorisation des hormones féminines et sur l’importance d’informer de façon critique et crédible la population des enjeux actuels en santé des femmes.